La théorie du dédoublement
de Jean-Pierre Garnier Malet
POURQUOI UN DÉDOUBLEMENT ?
Caractérisé par un mouvement, une curieuse vitesse et une équation universelle, le dédoublement de l’espace et du temps explique à la fois l’infiniment petit de nos particules, l’infiniment grand de l’univers… et nous, perdus sur une terre immense, planète d’un tout petit système solaire dont les dimensions nous semblent infinies.
Il nous suffit d’admettre qu’il puisse exister des temps imperceptibles, coincés entre deux temps perceptibles.
Le temps entre une question (un obstacle quelconque) et sa réponse (franchissement de l’obstacle) définit un temps d’adaptation pour une particule, qui utilise ce temps dans son espace défini et limité par son horizon. Une accélération de l’écoulement du temps dans un horizon imperceptible, dédoublé du premier horizon, permet à une particule, dédoublée de la particule initiale, évoluant de la même façon, d’obtenir la réponse avant la particule initiale.
L’accélération du temps peut être telle que la particule initiale « n’a pas le temps » d’utiliser un « instant » de son temps pendant que la particule dédoublée « a tout le temps » d’obtenir la réponse à sa question « dans ce même instant ». Cela nécessite la possibilité d’accélérer le temps tout en dédoublant la particule initiale dans des temps imperceptibles que j’ai appelés « ouvertures temporelles ».
Or le temps est observable et mesurable par le mouvement d’un espace par rapport à un autre. Il est de ce fait continu. Différencier le temps dans des « ouvertures temporelles » revient à différencier l’observation d’un mouvement, donc la perception de l’observateur lui-même, qui est à la fois horizon de particules et particule dans son horizon.
Le dédoublement implique un observateur dédoublé, évoluant dans les ouvertures temporelles de l’observateur initial. Du fait d’une différence de perception, l’observateur dédoublé évolue rapidement dans un temps accéléré qu’il considère comme normal.
Il ignore alors l’observateur initial puisqu’il ignore son temps d’évolution qui lui semble figé.
Il peut se considérer comme un observateur initial qui a son tour se dédouble. Un 3ème observateur répond donc aux questions du 2ème en se posant lui aussi d’autres questions.
Par des échanges d’information dans des « ouvertures temporelles » imperceptibles, le 1er observateur peut obtenir des réponses à des questions qu’il n’a pas eu le temps de se poser. Cela lui permet de connaître les réponses du 3ème avant le 2ème qu’il peut donc guider en lui suggérant de nouvelles questions qui modifient sa mémoire instantanément.
Autrement dit, le 2ème observateur évolue dans son présent. Il répond aux questions du 1er qui lui semble provenir du passé. Il se pose des questions auxquelles le 3ème répond à son tour. Ces réponses semblent être dans son futur. Par les échanges d’information instantanés dans les ouvertures temporelles, il est donc, en même temps, observateur dans trois temps différents : passé, présent, futur.
La théorie du dédoublement donne une équation qui permet d’exprimer de façon rigoureuse le changement de perception entre deux observateurs dédoublés dans deux temps différents.
Cette équation est la base fondamentale de la théorie du dédoublement. Par un changement d’échelle d’espace et de temps, elle réunit l’infiniment grand d’un observateur initial et l’infiniment petit de l’observateur dédoublé.
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